LES VALEURS DU CENTRE
Primauté de l’être humain : Ce n’est pas la primauté du politique sur l’économique ou le judiciaire, ni le contraire qui est le débat fondamental de nos sociétés. Non, le fondamental est la primauté de l’être humain. Une fois que celle-ci sera, non seulement, reconnue mais effective alors tous les autres débats annexes auront connu, naturellement, leurs résolutions.
Cet être humain doit être reconnu comme une personne, c’est-à-dire libre et responsable dans le cadre d’une communauté réunie par un lien social.
Cela ne légitime pas pour autant un individualisme égocentrique. Car la liberté dans la responsabilité induit un devoir de solidarité qui est une autre manière de reconnaître la primauté de l’être humain.
Le Centre propose une vraie politique de la vie, de sa défense, de sa protection et de son développement.
Néanmoins, le développement des sciences, notamment des sciences de la vie, impose que le postulat de la protection de la vie – et donc de la personne – soit la base de la réflexion éthique. Il ne s’agit pas d’interdire les choix qui relèvent de la personne mais d’empêcher les expérimentations et les commercialisations de l’humain dans un but uniquement financier.
Réunir et unir : tout doit se faire en commun et il faut donc réunir les femmes et les hommes et les unir dans un but identique d’établissement de la meilleure société possible.
Liberté et solidarité : un maximum de liberté dans la solidarité ; un maximum de solidarité préservant la liberté.
Respect et tolérance : respecter l’autre, c’est lui donner sa qualité d’être humain à part entière et le reconnaître tout autant que se reconnaître soi-même son égal ; tolérer l’autre, c’est respecter ses différences parce que cet autre respecte les miennes.
Le respect est fondamental dans les rapports humains. C’est la pièce maîtresse autour de laquelle s’articule la liberté, la solidarité et la tolérance. Il permet de créer un véritable lien social au sein d’une communauté. C’est tellement vrai que lorsque celui-ci n’existe pas, il faut malheureusement créer un catalogue sans fin de droits et de devoirs chapeauté par tout un système d’interdictions. Dans nos sociétés actuelles, comme le respect existe peu, on réglemente les rapports sociaux et les rapports directs entre deux individus, non pas par un lien social humaniste, mais par ce catalogue de droits et de devoirs qui n’en finit pas de s’allonger au fur et à mesure que la relation sociale se distend. Comme le dit si bien Aristote, « Quand les hommes sont amis, ils n’ont plus besoin entre eux de justice ».
En matière de mœurs où les évolutions sont diverses et nombreuses, la société doit adopter le double principe de la tolérance dans le respect de la personne. Chaque être humain a le droit de choisir sa vie tant que celle-ci s’inscrit dans la tolérance qu’il doit en retour de celle qu’il a reçu et dans le strict respect de la personne et donc de sa vie.
Le respect de la personne concerne aussi bien son intégrité physique que psychologique ainsi que sa liberté. Dans toutes les questions de société, et notamment en matière de biotechnologies, cette vision doit être la base sur laquelle se forme le débat.
Responsabilité : être responsable, c’est prendre notre destin en main, faire en sorte d’améliorer les choses, permettre au monde de progresser vers les valeurs de liberté, de solidarité, de respect et de tolérance, de bâtir un monde sûr, respectueux de tous les êtres humains, préservant la nature, préparant l’avenir des futures générations.
Individualisme et lien social : l’individualisme, c’est garantir à l’individu son identité propre et la respecter dans tous les domaines (politique, économique, social, etc.) mais tout en l’incluant dans le lien social, donnée fondamentale de la vie en société.
Individualisme et solidarité sont à la base de toute société équilibrée. L’individualisme garantit une liberté à l’individu, lui permettant de s’épanouir le plus complètement possible dans un environnement harmonieux et donc de vouloir faire le bien, ce que tend à faire tout être humain heureux, et donc à se sentir solidaire des autres. De la même manière, une solidarité totale permet de donner à tout être humain ce qu’il faut pour qu’il trouve son épanouissement personnel et qu’il se réalise le plus complètement possible, donc à être le plus libre possible.
Cette théorie des deux extrêmes complémentaires permet de faire coexister les deux tendances naturelles de l’être humain : un désir d’autonomie et un désir de partage avec les autres êtres humains. Si l’individualisme ne trouve pas sa complémentarité dans la solidarité, si la solidarité ne s’harmonise pas avec l’individualisme, la société est alors déséquilibrée. Il faut être vigilant pour que l’un ne domine pas l’autre et que ce déséquilibre ne puisse rompre cette harmonie.
L’individualisme et le lien social font de l’être humain, une personne humaine.
Mise en commun : personne ne s’en sortira de son côté, de même qu’aucun peuple, fut-il le plus puissant de la planète ne le peut. Il faut donc agir ensemble, mettre en commun le formidable génie humain pour bâtir la meilleure société possible, le meilleur monde possible.
Fraternité internationaliste : c’est dans la réunion du monde entier que l’on construira la meilleure société possible pour tous, en s’organisant ensemble, en s’alliant, en se fédérant puis en en se fondant dans une même collectivité mondiale. Cette fraternité passe évidement par la construction d’une Europe fédéraliste, le grand défi du début du XXI° siècle pour tous les pays européens mais également par la mise en place d’une véritable gouvernance mondiale, prémisse d’une alliance plus profonde entre les peuples de la Terre. Ceci n’est pas une douce utopie, c’est une exigence incontournable pour l’avenir de l’Humanité.
Primauté de l’être humain : Ce n’est pas la primauté du politique sur l’économique ou le judiciaire, ni le contraire qui est le débat fondamental de nos sociétés. Non, le fondamental est la primauté de l’être humain. Une fois que celle-ci sera, non seulement, reconnue mais effective alors tous les autres débats annexes auront connu, naturellement, leurs résolutions.
Cet être humain doit être reconnu comme une personne, c’est-à-dire libre et responsable dans le cadre d’une communauté réunie par un lien social.
Cela ne légitime pas pour autant un individualisme égocentrique. Car la liberté dans la responsabilité induit un devoir de solidarité qui est une autre manière de reconnaître la primauté de l’être humain.
Le Centre propose une vraie politique de la vie, de sa défense, de sa protection et de son développement.
Néanmoins, le développement des sciences, notamment des sciences de la vie, impose que le postulat de la protection de la vie – et donc de la personne – soit la base de la réflexion éthique. Il ne s’agit pas d’interdire les choix qui relèvent de la personne mais d’empêcher les expérimentations et les commercialisations de l’humain dans un but uniquement financier.
Réunir et unir : tout doit se faire en commun et il faut donc réunir les femmes et les hommes et les unir dans un but identique d’établissement de la meilleure société possible.
Liberté et solidarité : un maximum de liberté dans la solidarité ; un maximum de solidarité préservant la liberté.
Respect et tolérance : respecter l’autre, c’est lui donner sa qualité d’être humain à part entière et le reconnaître tout autant que se reconnaître soi-même son égal ; tolérer l’autre, c’est respecter ses différences parce que cet autre respecte les miennes.
Le respect est fondamental dans les rapports humains. C’est la pièce maîtresse autour de laquelle s’articule la liberté, la solidarité et la tolérance. Il permet de créer un véritable lien social au sein d’une communauté. C’est tellement vrai que lorsque celui-ci n’existe pas, il faut malheureusement créer un catalogue sans fin de droits et de devoirs chapeauté par tout un système d’interdictions. Dans nos sociétés actuelles, comme le respect existe peu, on réglemente les rapports sociaux et les rapports directs entre deux individus, non pas par un lien social humaniste, mais par ce catalogue de droits et de devoirs qui n’en finit pas de s’allonger au fur et à mesure que la relation sociale se distend. Comme le dit si bien Aristote, « Quand les hommes sont amis, ils n’ont plus besoin entre eux de justice ».
En matière de mœurs où les évolutions sont diverses et nombreuses, la société doit adopter le double principe de la tolérance dans le respect de la personne. Chaque être humain a le droit de choisir sa vie tant que celle-ci s’inscrit dans la tolérance qu’il doit en retour de celle qu’il a reçu et dans le strict respect de la personne et donc de sa vie.
Le respect de la personne concerne aussi bien son intégrité physique que psychologique ainsi que sa liberté. Dans toutes les questions de société, et notamment en matière de biotechnologies, cette vision doit être la base sur laquelle se forme le débat.
Responsabilité : être responsable, c’est prendre notre destin en main, faire en sorte d’améliorer les choses, permettre au monde de progresser vers les valeurs de liberté, de solidarité, de respect et de tolérance, de bâtir un monde sûr, respectueux de tous les êtres humains, préservant la nature, préparant l’avenir des futures générations.
Individualisme et lien social : l’individualisme, c’est garantir à l’individu son identité propre et la respecter dans tous les domaines (politique, économique, social, etc.) mais tout en l’incluant dans le lien social, donnée fondamentale de la vie en société.
Individualisme et solidarité sont à la base de toute société équilibrée. L’individualisme garantit une liberté à l’individu, lui permettant de s’épanouir le plus complètement possible dans un environnement harmonieux et donc de vouloir faire le bien, ce que tend à faire tout être humain heureux, et donc à se sentir solidaire des autres. De la même manière, une solidarité totale permet de donner à tout être humain ce qu’il faut pour qu’il trouve son épanouissement personnel et qu’il se réalise le plus complètement possible, donc à être le plus libre possible.
Cette théorie des deux extrêmes complémentaires permet de faire coexister les deux tendances naturelles de l’être humain : un désir d’autonomie et un désir de partage avec les autres êtres humains. Si l’individualisme ne trouve pas sa complémentarité dans la solidarité, si la solidarité ne s’harmonise pas avec l’individualisme, la société est alors déséquilibrée. Il faut être vigilant pour que l’un ne domine pas l’autre et que ce déséquilibre ne puisse rompre cette harmonie.
L’individualisme et le lien social font de l’être humain, une personne humaine.
Mise en commun : personne ne s’en sortira de son côté, de même qu’aucun peuple, fut-il le plus puissant de la planète ne le peut. Il faut donc agir ensemble, mettre en commun le formidable génie humain pour bâtir la meilleure société possible, le meilleur monde possible.
Fraternité internationaliste : c’est dans la réunion du monde entier que l’on construira la meilleure société possible pour tous, en s’organisant ensemble, en s’alliant, en se fédérant puis en en se fondant dans une même collectivité mondiale. Cette fraternité passe évidement par la construction d’une Europe fédéraliste, le grand défi du début du XXI° siècle pour tous les pays européens mais également par la mise en place d’une véritable gouvernance mondiale, prémisse d’une alliance plus profonde entre les peuples de la Terre. Ceci n’est pas une douce utopie, c’est une exigence incontournable pour l’avenir de l’Humanité.
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